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NOTRE EDUCATION... CLÉ DE NOS RÉUSSITES D'ADULTES

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La puissance des mots qu'ont utilisés nos parents durant notre éducation est d'une importance cruciale pour notre vie d'adulte.

Nos parents sont nos premiers référents lorsque nous sommes enfants. S'ils ont eu des paroles de soutien et d'attention envers nous, nous avons dans notre quotidien de « grands » un socle affectif qui nous permet d'avoir confiance en nous et de vivre notre quotidien et certaines difficultés avec paix et force.

Si, au contraire, ils n'ont jamais exprimé de mots tels que « Je t'aime », « Bravo », « C'est bien », « Je suis fier de toi » voire même s'ils ont eu tendance à dénigrer nos agissements, un manque de confiance en soi a fait son chemin dans notre inconscient.

Vous vivez des échecs répétitifs dans un domaine de votre vie ? D'ordre sentimental, professionnel, amical... ? Vous ne vous sentez pas totalement épanoui dans votre vie actuelle ?

C'est certainement dû à ce que vous avez entendu durant votre enfance qui a créé des blocages inconscients vous empêchant de vous réaliser en totalité. Les écueils sans cesse renouvelés sont un appel de votre esprit et de la vie elle même afin que vous vous penchiez sur ces blessures pour les conscientiser et les guérir en les transcendant.

Si aucune prise de conscience n'est faite, c'est votre corps qui peut s'en mêler en vous rendant malade ou en provoquant déprime, douleurs diverses dans des parties du corps, comportements addictifs... Ces derniers sont répertoriés par la psycho-énergétique, permettant ainsi de comprendre aisément quelles attitudes de votre père ou de votre mère, ou encore tout référent de votre enfance, sont venus créer un manque de confiance en vous.

Chaque critique sera une blessure à guérir, à transcender en réalisant une première démarche, celle de l'acceptation que notre famille a fait ce qu'elle a pu avec ses propres souffrances. Notre société, depuis des millénaires, nous a fait croire que la gentillesse, les mots d'amour, la douceur ou encore l'expression d'une tristesse sont des faiblesses. Des générations entières ont été éduquées dans une notion de concurrence, d'égoïsme, de peurs. Nos propres parents sont eux aussi les victimes de ce système. Il est donc important de les pardonner car, d'une certaine façon, ils sont responsables mais non coupables, c'est à dire qu'ils n'ont même pas conscience du mal qu'ils ont pu faire à leurs enfants. Ils n'ont fait que suivre l'exemple de leurs aînés en reproduisant ce qu'ils pensaient être de la bienveillance.

La deuxième démarche sera d'apprendre à se dissocier de cette forme d'éducation « mal-veillante » (veiller mal sur l'autre sans pour autant avoir une volonté de nuire) pour s'aimer sans ces chaînes du passé qui nous bloquent, à la juste valeur qui est la notre. Faire un bilan positif de ce que nous sommes en faisant la paix avec cet apprentissage dont les travers ne nous appartiennent pas. Re-trouver l'amour de soi de façon inconditionnelle et par là même véhiculer une nouvelle forme d'éducation pour les générations futures.

Un enfant est un être précieux qui doit être entendu et accueilli tel qu'il est, avec amour et compassion !

 
 
 

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